Il s’agit d’un changement profond de paradigme et d’une nouvelle façon de gérer et de penser les données.
Evidemment, l’enjeu est de taille : l’existant en banque, finance et assurance est suffisamment conséquent pour ne pas sauter sur la première technologie à la mode. La pérennité de la solution est une nécessité absolue, tout comme son coût, le support fourni, etc.
Il ne peut y avoir de Big Data que s’il y a une volonté métier avérée : on ne fait pas du Big Data parce que sa DSI est avide de nouveaux défis techniques, ou parce que ses concurrents sont plus en avance sur le sujet. Il faut au préalable se poser la question de ce genre de solution technique lorsqu’un besoin métier émerge, tels que les projets transverses ou ceux relevant d’une vue globale.